Les messages

Nadine channacCondoléance

N'ayant pas pu assister aux obsèques de Patrick, je te présente Katia ainsi qu'à tous tes enfants mes sincères condoléances, je te souhaite beaucoup de courage pour surmonter cette dure épreuve, je t'embrasse.
Nadine

Christine COTCondoléance

Cher Guy et toute la famille endeuillée,
Recevez mes pensées de soutien et mes prières pour la défunte.
"Ce que la chenille appelle la fin du monde, le maître l’appelle un papillon." dit la sagesse persane...
Toutes mes amitiés,
Christine

Charles SEGALENHommage

Adieu Mado. J’avais 6 ans quand nos familles se sont réunies. Tu habitais alors Romainville en banlieue parisienne, où tu t’occupais d’une blanchisserie. Je garde le souvenir du séjour que nous y avons fait avec Maman et Jean-Guillaume. Nous sommes allés à la Tour Eiffel avec ton grand-père, le « Père Noêl », dont la belle barbe blanche et la grande cape lui valaient de recevoir des lettres d’enfants à Noël. Il était plus connu à Brest pour ce personnage que comme l’architecte qui avait reconstruit l’arsenal après la guerre. Puis tu nous a rejoint à Brest avec tes frères. Aux louveteaux, tu étais ma cheftaine Baloo. J’en garde deux souvenirs : tu montes devant moi la passerelle d’un bateau de guerre que nous visitons, et le béret que je portais, hérité d’un de mes grands frères scouts, trop grand pour moi…
J’avais 9 ans quand tu as quitté notre 151 rue Jean Jaurès pour fonder ta belle famille. A ton mariage, à Guengat, je n’ai pas vu la fin du repas car, pour jouer les grands, j’ai bu du vin posé sur notre table et fini allongé dans un à de l’étage en-dessous. Je me souviens de tes mots, furieuse : « Il n’y a pas idée de mettre du vin sur la table des enfants ! ». Ma première cuite !...
Je me souviens d’être allé en famille vous voir dans votre grande maison des Tamaris à Alès, à l’occasion du baptême de Brigitte peut-être. Pas celui de Mireille car à l’annonce de son prénom, j’étais dans la charcuterie où j’entends encore Christian Join s’amuser du nom de la célèbre marque de saucisson sec d’Avignon que vous lui aviez choisie ! Souvenir marquant : un scorpion dans notre chambre ! Tu l’as maudit. Notre voyage en DS Citroën nous a amené à Marseille. J’ai en mémoire l ;a bouillabaisse dont je n’ai aimé que les croûtons !
Nous nous sommes revus deux fois à Argenton dans ce terrain familial où Françoise et Christian, Jacques et Marie-Paul et plus tard, moi-même avec Marie-Madeleine, passions nos vacances en caravane. J’ai le souvenir d’un cochon grillé préparé par Christian et de jeux dont j’ai gardé une photo : Guillaume à genoux la tête dans une bassine d’eau pour attraper une pièce de monnaie, et toi pliée de rire ; on y voit aussi Cathy qui doit avoir 7-8 ans. Quelques années plus tard, le souvenir de toi c’est une grande discussion sur l’évolution de la société, un sujet que tu affectionnais, comme moi. Je crois que c’est ce jour-là que Guillaume, perplexe mais admiratif, a raconté que tu avais défilé en noir dans les rues d’Alès avec Amnesty International !
On s’est revus à St-Paul Lacoste, une première fois j’étais avec Marie-Madeleine et les petits, les deux autres avec des amis, Katell et David ados, puis avec des amis et Katell et ses enfants. On te voyait toujours en bas, à Alès, car disais-tu, « je n’aime pas la campagne ! ». C’est encore la raison que tu as invoquée pour ne jamais accompagner Guillaume lors de son pèlerinage annuel à Guengat, ajoutant même, en plus du manque de chaleur en Bretagne : « Mon rêve, c’est d’habiter Paris » !
On s’est souhaité chaque Bonne Année. La dernière fois, tu comprenais difficilement mes mots. Comme tu m’avais toujours écoutée avec tellement d’attention et d’affection, que nous arrivait-il ? Mado !
On s’attache différemment à chaque personne qu’on aime. On se quitte avec des sentiments aussi singuliers.

ANNIE BATIERCondoléance

Je pense très fort à vous et m'associe à votre chagrin.
Je me remémore les très agréables moments, sincères et chaleureux, partagés avec Madame Jacqueline et Monsieur Yvon Duchamp à Chamalières, Royat, Alès, Carnon et Mauguio. Leurs étoiles brillent dans le ciel et nous guideront pour toujours.
Avec toute mon amitié et mon affection.
Annie Batier

École Saint Christophe OGEC, FRATERNELLE, APEL et DIRECTIONCondoléance

Nous nous associons à votre peine et vous prions d’accepter nos plus sincères condoléances. Nous n’oublierons pas le dévouement de Christiane pour l’école pendant de longues année.

Jeanne FIOLCondoléance

Dans la peine d'avoir perdu une amie, et dans l'impossibilité de pouvoir me déplacer, je vous présente toutes mes condoléances. Je garderai dans mon coeur le souvenir d'une personne remarquable et pleine de bienveillance. Elle a su apporter dans le club beaucoup de bonne humeur et de gentillesse.

Jean-marie & Grace TorailleTémoignage

Oui perdons une grande amie .une femme au grand cœur et généreuse.. toujours pleine d'entrain,et prête à rendre service
Que Dieu la garde dans son royaume et qu'elle repose en paix..
SINCERES condoléances à sa famille..

dany pradier Condoléance

Mes sincères condoléances a la famille je garderais de très bons souvenirs des moments que nous avons passé ensemble pour sa gentillesse son grand cœur au Centre culturel de Vauvert

Bruna et Bernard Me et Mr MIRATONCondoléance

Nous sommes très touchés par le décès de CLAUDE, ayant travaillé chez nous avec son papa Joseph nous avons apprécié ses qualités humaines. Aussi c'est avec respect que nous présentons nos plus profondes condoléances à sa famille. Bruna et Bernard Miraton

Renaud et Véronique Bonel et Tresfield Condoléance

Nous nous associons à tous ceux qui prennent part à votre affliction. Veuillez recevoir nos condoléances très sincères et croire en nos respectueux sentiments.

Jacques HOURSCondoléance

A l'ensemble de la famille - au nom des miens et en mon nom personnel - j'adresse des condoléances les plus sincères et les plus chaleureuses suite à la disparition de Jean.
Je garde le souvenir particulièrement ému de ce "pilier courtoisien"... que j'ai toujours connu, en fait, et dès ma plus tendre enfance, dans les locaux de cet Établissement alésien emblématique.
Jeannot (car c'est ainsi qu'il se laissait appeler me semble-t-il) avait un charisme évident, l'allure d'un acteur de cinéma... c'est en tous cas le regard que j'ai toujours porté sur lui et qui restera gravé dans ma mémoire, aux côtés de mon père, des employés et des membres de la famille Courtois pour lesquels j'ai toujours eu une grande admiration et beaucoup de respect. Au-delà d'une véritable affection...
Bon courage et que Dieu veille sur lui et vous tous !
Jacques HOURS

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